DECROUVREZ NEW YORK AVEC LES PERRIER par Jean Hugues

Une fois notre chemin de croix accomplie aux pays des Yankees pour notre « Honey Moon » made in Chemin, il me revient la tâche au combien délicate mais plaisante de vous conter quelques une de nos histoires sur 3 thèmes :

- les bars de New York

- la vie de Tobbie au quotidien (jeune caniche nain piqué aux OGM de la taille de king Kong à la naissance)

- les rues de New York (d’un point de vue technique, les puristes du TP comprendront)

A peine fraîchement débarqués et sans aucun à priori sur les américains avec leurs us et coutumes, nous sommes directement pris en charge par Christophe Chemin en personne.

Fort de notre expérience des States, se limitant pour ma part au Blog des Chemin nous suivons inconsciemment Cricri vers un restaurant très « Lounge » (je ne connais toujours pas la traduction), style propre sur soi avec une discothèque au sous sol.

Jusque là tout va bien !!!

Mais l’envie me brûlait de connaître un bar plus « typique ». Pas de problème pour un lapin aguerrit.

Nous marchons et avançons dans la rue, première rencontre avec un cow boy aux santiags bien pointues dans une Cadillac rose. Et plus nous avançons, plus les quakers de tous genres se massent vers un endroit encore inconnu. Arrivés devant la porte gardée par bill le boucher, je pose bêtement la question « Est que c’est lounge ». Réponse derrière la porte !!!

Oh stupeur, je reconnais cet endroit….

LE BAR A SOUTIFS (Cf article du 25 juillet 2006 du Blog, si si Karyn ça m’arrive de le lire).

Extraordinaire, des coyotes girls qui hurlent dans les mégaphones, et se manucurent les peaux mortes des pieds en dansant sur le comptoir brûlant de Vodka. Le REVE.

Il a des bonnes adresses mine de rien le beau frère !

Mais attention à celui qui ne dégaine pas assez vite le pourboire, les filles se chargent de lui rappeler…les personnes visées se reconnaîtront. (toute ressemblance avec des personnages existants est tout à fait fortuite).

Franchement y’a qu’aux states qu’on voit ça.

Le lendemain à peine sorti dehors, nous constatons d’autres phénomènes étranges. Les maîtres désireux de soulager leurs chiens les promènent sur le trottoir et dégainent leur sachet plastique à la moindre déjection de leur animal. Agréable pour les promeneurs me direz vous qui ne risquent pas la triple fracture tibia Perronet en glissant sur la dite bouse. Oui mais mettons nous dans la peau du chien 5 minutes. Est-ce bien agréable de se sentir épié voir attendu dans un si rare moment d’intimité ? La solution : le trottoir de ville avec paravent. Voilà un marché porteur. (PS : Au prochain séjour, promis vous nous emmènerez dans le resto à chiens sur Amsterdam Avenue qu’on puisse sonder les principaux intéressés).

Dernier point sur lequel je reviendrai rapidement puisque peu de personnes se sentiront concernées : l’état de le voirie.

Les rues de NY sont un véritable gruyère, un véritable circuit de stock car. Trois mois pour boucher un trou de raccordement, provisoirement recouvert de tôles. Franchement y a de l’abus. Mais finalement ils ont peu être raisons, un chantier ça se prépare, il faut du temps.

Fort de cet enseignement j’ai décidé d’adopter la même démarche avec mes clients à notre retour. Résultat « Y va pas bien m’sieur Perrier » . Eh ouais ça ne marche pas partout.

Vous allez dire que je suis un peu critique, c’est vrai. Mais ce ne sont que quelques détails.

Merci encore monsieur et madame Chemin pour ce dépaysement total et ce superbe cadeau de mariage. C’est sur nous reviendrons (peut être plus vite que prévu…on laisse le temps à Christophe pour dénicher d’autres bars made in Cricri).

PS : NY en parachute, faisable ou pas ?